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Abécédaire des candidats: Monique sous toutes les coutures

 

A comme amazone. Elle est apparue le jour de son investiture sur un cheval sellé.

B comme Bobo-Dioulasso. Elle est née le 24 août 1973 à l’hôpital Souro-Sanou de Bobo.

C comme chambre des sages. Ce sera l’une de ses mesures phares si elle accédait à la magistrature suprême : la création d’une Chambre de sages de 130 membres.

E comme éducation. C’est le thème majeur de sa campagne et de son projet de société.

F comme Faso-Danfani. Elle arbore à chacune de ses sorties une tenue en Faso-Danfani.

G comme Gras Savoye. Tout juste après son DUT en secrétariat, elle a rejoint la filiale burkinabè de cette entreprise française spécialisée en courtage d’assurance.

H comme huit. La championne du Mouvement pour la renaissance du Burkina (MRB) est l’aînée d’une fratrie de 8 enfants.

K comme Kam Baga, dit Sika. C’est le nom de son père, un autodidacte qui a appris seul à lire et à écrire et qui coule aujourd’hui une retraite paisible à Naabpuugo (Boulmiougou).

L comme langue nationale officielle. Elle veut instituer une langue nationale officielle sur la base des langues déjà parlées dans le pays.

M comme mère. Elle est mère de cinq enfants.

O comme « Oui, c’est encore possible ! » C’est son slogan de campagne, qui sonne comme le « Yes we can » de Barack Obama en 2008.

P comme pactes. Son programme de société est divisé en sept pactes, dont les pactes éducation et emploi.

Q comme quota genre. Elle est une  ardente  défenseuse du quota genre.

S comme SAGER (Solutions en assurances et gestion des risques). C’est le nom de l’entreprise qu’elle a créée en 2008, spécialisée en courtage d’assurance.

V comme voyages. Le père Kam a beaucoup voyagé en quête d’emploi. Monique a suivi son papa dans ses  pérégrinations,   si bien qu’elle a fréquenté plusieurs établissements scolaires.

Y comme yaars. Depuis le début de la campagne, la « Yennenga de l’éducation » s’est surtout illustrée par la ronde des marchés et yaars.

 

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