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Politique (791)

MPP Houet: Le nouveau bureau provincial contesté

La mobilisation était totale hier dans la matinée au siège provincial du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP). Les militants de la province du Houet s’étaient en effet massivement mobilisés pour dénoncer ce qu’ils ont qualifié « d’arbitraire et de copinage » dans le choix des membres du nouveau bureau politique provincial du parti.

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Procès putsch manqué : Le lieutenant Zagré et sa mission au Togo

Après deux jours de suspension (vendredi et samedi derniers) due au décès de Me Mamadou Keïta, un des avocats de la défense, le procès du coup d’Etat manqué du 16 septembre 2015 a repris hier 27 août 2018, dans la salle des Banquets de Ouaga 2000. Le bal des auditions s’est poursuivi avec le sergent Souleymane Koné et le lieutenant Bouraïma Zagré, deuxième officier subalterne à être appelé à la barre. Les deux inculpés ont plaidé non coupable avant de s’expliquer sur les faits de complicité d’attentat à la sûreté de l’Etat, de meurtre, de coups et blessures volontaires et d’incitation à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline militaires qui leur sont reprochés.

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Parcelles non mises en valeur à la ZACA : Les propriétaires fantômes ont un mois pour réapparaître

La Zone d’activités commerciales et administratives (ZACA) n’a pas fière allure. Sur un espace de 85 hectares, l’on enregistre seulement 25% de mise en valeur. Le reste de la terre sert de dépotoir. Au cours d’une conférence de presse le vendredi 24 août 2018, animée par le secrétaire général du ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme, Léon Paul Toé, un ultimatum d’un mois a été donné aux propriétaires de parcelles non mises en valeur, dont les noms n’ont pas été communiqués, pour faire approuver leur projet de construction et solliciter un permis de construire. 

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Décès de Salifou Diallo : Pluie d’hommages pour un premier anniversaire

Hier dimanche 19 août 2018, cela faisait exactement un an que disparaissait à Paris, le Dr Salifou Diallo, alors président du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP), et patron du Parlement burkinabè. Ses camarades politiques du parti, pour se souvenir de lui, ont organisé le samedi 18 du mois courant une conférence publique à Ouagadougou. Une matinée qui a consacré une pluie d’hommages à la mémoire de l’illustre disparu.

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Procès putsch manqué : Un interprète pour le soldat Ouattara

 

Les auditions des accusés au procès du coup d’Etat manqué du 16 septembre 2015 ont repris hier 16 août 2018, dans la salle des Banquets de Ouaga 2000. Etait à la barre le soldat de 1re classe Sidiki Ouattara, poursuivi pour quatre chefs d’accusation : complicité d’attentat à la sûreté de l’Etat, meurtre, coups et blessures volontaires et dégradation volontaire aggravée de biens. Il a plaidé non coupable, a déclaré l’interprète qui lui a été trouvé, une première, car depuis le début du procès, les inculpés se sont toujours exprimés dans la langue officielle, le français.  

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Humeur : Gorba président à titre posthume

 

19 août 2017-19 août 2018. Dimanche, cela fera exactement un an que la Faucheuse surprenait à Paris le président de l’Assemblée nationale Salifou Diallo. Dans les jours qui ont suivi la disparition de celui qu’on considérait comme le baobab de la politique burkinabè, la Nation lui a rendu plusieurs hommages appuyés. Un important cortège l’a notamment accompagné vers son Ouahigouya natal où il a été inhumé le 25 août 2017. Une année après, l’ombre de Gorba, comme on l’appelait, semble toujours planer sur la vie politique burkinabè. Nous avons reçu à ce sujet ce témoignage d’un de ses admirateurs.

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Procès putsch manqué: Retour ce matin au prétoire

Suspendu depuis le 28 juillet 2018, c’est ce matin à 9h que va reprendre le procès du coup d’Etat manqué du 16 septembre 2015. Après une quinzaine de jours, les juges, le parquet militaire, les avocats des parties civiles, ceux de la défense et les 84 inculpés vont retourner dans la salle des Banquets de Ouaga 2000, transformée depuis le 27 février courant en prétoire pour la circonstance. Avant cette suspension, une trentaine d’accusés se sont succédé à la barre pour s’expliquer sur des faits d’attentat à la sûreté de l’Etat, de meurtre, de coups et blessures volontaires, de dégradation volontaire aggravée de biens, d’incitation à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline ou de complicité en rapport avec ces chefs d’accusation.

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