An 10 de l'UPC : Le Lion sortira de sa tanière dimanche
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Simon Compaoré est un homme politique qu’on ne présente plus aux Burkinabè. Depuis une trentaine d’années au moins, de l’ODP/MT au MPP en passant par le CDP, il a occupé de hautes fonctions à la direction de ces partis, dans l’administration publique et le gouvernement. On retient surtout les 17 années, de 1995 à 2012, pendant lesquelles il dirigea la commune de Ouagadougou, et les deux années, 2016 à 2018, pendant lesquelles il occupa les fonctions de ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale et de la Sécurité. L’homme, qui se présente aujourd’hui comme un retraité de la fonction publique «responsable des affaires» du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP), est un lève-tôt et un couche-tard à l’énergie débordante malgré ses 67 ans passés.
Il nous a accordéun entretien exclusif en prélude au 3e congrès ordinaire du MPP, prévu pour les 6 et 7 mars prochain, et y parle de la vie du parti, de la gestion du pouvoir par l’actuelle majorité et des perspectives dans sa carrière politique. Le thème du congrès à venir est, faut-il le rappeler : « Consolider le leadership national du MPP pour une victoire éclatante dans la paix et la cohésion ».
Les habitants des villes de la Région de l’Est, d’abord traumatisés par les attaques djihadistes, ont été surpris ce lundi matin de constater que leurs enfants sont revenus de l’école.
Fidèle à une communication hebdomadaire basée sur une rencontre avec les professionnels des médias, le Chef de file de l’opposition politique au Burkina Faso (CFOP/BF) a organisé un point de presse. Jean-Hubert Bazié, président de l’Espoir, et Adama Séré, président du Rassemblement des écologistes du Burkina Faso (RDEBF), ont animé la rencontre. L’attaque terroriste du dimanche 16 février 2020 dans le village de Pansi (province du Yagha) est revenue au premier plan parmi les points saillants de l’actualité nationale. C’était le mardi 18 février 2020 à Ouagadougou.
Ils sont nombreux ceux qui piaffent d’impatience pour savoir combien de personnes compte notre pays. Il faudra prendre votre mal en patience jusqu’en août. Boureima Ouédraogo, directeur général de l’Institut national de la statistique et de la démographie (INSD), et ses collaborateurs se sont retenus de donner de chiffre sur le 5e Recensement général de la population et de l’habitation (5e RGPH) au cours de la rencontre avec les hommes de médias le 14 février 2020.
Le long du week-end écoulé, ils ont fait la une des réseaux sociaux et de certains de nos confrères. Le 15 février 2020, les activistes Naïm Touré, Aminata Rachow et un certain Lahousseni Tahar ont été jugés en premier ressort au Tribunal de Grande instance de Ouagadougou pour des faits de ‘’diffamation et injures publiques’’ à l’encontre du député Barkissa Ouédraogo et de sa fille Assanata Dabal. Le sieur Touré et Aminata Rachow ont été condamnés, chacun, à six mois de prison ferme.
A moins de 10 mois de l’élection présidentielle et des législatives, annoncées pour le 22 novembre, si ce n’est pas un branle-bas de combat dans les états-majors des partis politiques et au niveau de la CENI, ça y ressemble beaucoup.
Le très polémiste Harouna Dicko signe son retour sur la scène politique. Cette fois-ci, comme il l’a signifié aux médias le jeudi 13 février 2020 à Ouagadougou, ce n’est pas pour faire de la politique partisane, mais plutôt citoyenne. Le constitutionnaliste se dit opposé à la tenue des élections de novembre prochain, tant que le Burkina ne recouvre pas l’intégrité de son territoire.
Ce lundi 10 février 2020, le ministre de la Défense, Moumina Chériff Sy, a reçu en audience une délégation américaine conduite par l’ambassadeur Andrew Young. Cette rencontre, qui s’est déroulé à huis clos, a duré une quarantaine de minutes. Les journalistes qui attendaient n’ont rien eu à se mettre sous la dent, car rien n’a filtré à l’issue de cette audience.